Dans le Lot-Et-Garonne, le gouvernement botte en touche

En 47, le gouvernement botte en touche.

Non on ne va pas vous parler de Rugby à AGEN, bien que l’envie de « rentrer dans le lard » de nos Républicains marcheurs se fasse de jour en jour plus forte localement ; Non on va vous parler d’un CFA qui date de 1964, qui a besoin d’urgence d’une sacrée rénovation sous peine de fermeture et qui peine à attirer le regard du gouvernement sur ses lézardes.


 

Les salariés du centre de formation de la chambre des métiers du Lot et Garonne sont inquiets pour leur avenir : Pensez ! des locaux très usés voire obsolètes pour certains, d’autres bâtiments interdits pour raisons de sécurité et un projet de rénovation qui tarde à aboutir, un cocktail qui a tout pour faire craquer les plus fragiles et qui pose de sacrés questions sur les véritables priorités du gouvernement.

Certes les problèmes ne sont pas apparus en quelques jours, la situation actuelle est le résultat d’années de rustines et de petits coups de pinceaux mais il n’en reste pas moins que l’urgence est là pour des élus qui se démènent réellement avec conviction pour sauver le vieux galion. Paradoxalement ce centre de formation Agenais attire de plus en plus d’apprentis, huit cent actuellement, la meilleure progression de la région pour une palette de métiers très large qui va de l’automobile, l’alimentaire (pâtissiers, boulangers, bouchers, charcutiers) en passant par la coiffure, l’hôtellerie restauration, la carrosserie, chaudronnerie. L’enseignement prodigué est reconnu de grande qualité et produit son lot de champions aux olympiades des métiers et autres concours sans parler des très bons scores aux examens.

Précisons encore que ce centre de formation est le dernier à attendre une vraie rénovation en Nouvelle Aquitaine.

Pour autant le combat qui est mené avec acharnement par des élus chambre des métiers n’a toujours pas permis de boucler le budget nécessaire à la rénovation. L’agglo, le département, la région (7 millions d’euros tout de même) ont déjà confirmé leur engagement… Les 4 millions restants et manquants nécessiteraient l’engagement de l’état. De multiples contacts ont eu lieu en ce sens et ces jours-ci c’est la sénatrice LR de Lot et Garonne, Madame Bonfanti Dossat, qui a interpellé le gouvernement lors d’une séance au sénat. Question claire, arguments clairs…

Réponse indigne de la représentante du gouvernement : « adressez-vous à la région »…

Ci dessous un extrait de son intervention (source Sud-Ouest)

Il nous semblait pourtant que l’apprentissage figurait bien dans les priorités du gouvernement ? Dans les faits les tenants de la « start-up nation » n’ont que faire des problèmes de territoires éloignés des palais de la république. Nos dirigeants ne se soucient guère de l’avenir des enfants d’une République dont ils préfèrent brader les valeurs d’égalité et de fraternité.

Le président de la chambre des métiers du Lot et Garonne, ne lâche pas le morceau mais a déjà prévenu qu’à défaut de soutien du gouvernement il serait bien obligé à moment donné de songer à la fermeture.

Faudra-t-il un mouvement d’ampleur des salariés pour espérer voir les lignes bouger ?

Le nouveau monde tant vanté par le gouvernement gagnerait en crédibilité en apportant enfin son soutien à ce projet, sauvant ainsi de nombreux emplois.

L’article du journal Sud-Ouest.




ÇA BOUGE À LA CHAMBRE DE METIERS DES LANDES

La CMA des Landes, habituellement peu soucieuse du respect du statut du personnel des CMA et du dialogue social (voir ici et ici), connait ces jours-ci un nouvel épisode de colère. cette fois ci, ce sont les apprentis qui se sont chargés de rappeler aux dirigeants de leur CFA qu’ils avaient des droits et qu’ils n’étaient pas près à se laisser plumer.

 


 

La semaine d’internat étant passée de 59 euros à 117 euros, les apprentis ont décidé de bloquer le CFA ce mardi 16 octobre de 08h00 à 12h00 et d’alerter les médias.

Les médias présents, radio (France Bleu Gascogne), presse  (Sud-ouest) et TV (France 3 Aquitaine) ont pu constater et relayer la saine colère des apprentis. L’attachée parlementaire du député MODEM des Landes a également fait le déplacement, ainsi qu’une médiatrice de la Préfecture.

 

Voyez ici l’intervention d’une apprentie au CFA de la CMA des Landes (source Sud-Ouest) :

 

 

le quotidien Sud Ouest écrit notamment dans un article consacré à cette action :

« C’est la goutte d’eau qui a fait déborder le vase, ce traitement à la tête du client des tarifs d’internat, explique Maïtané Suppo, qui a initié le blocage, ce mardi matin, de l’établissement pour surprendre la directrice, Françoise Ribereau, présente le mardi à Mont-de-Marsan (elle dirige également les CFA de Pau et Bayonne). Les relations sont délétères depuis son arrivée en janvier, les supports pédagogiques s’amenuisent, les sorties, le matériel. Elle voulait même nous priver de repas un soir car l’alarme à incendie avait été déclenchée dans la journée. Si le cuisinier du lycée Estève n’était pas venu nous chercher pour éviter de jeter nos repas, nous n’aurions pas dîné! »

La directrice a consenti, avec le président de la Chambre des métiers et de l’artisanat, Philippe Retours, à recevoir des délégués des élèves dans la matinée, puis à sortir écouter ce que les apprentis lui reprochaient.

 

Bien évidement les apprentis ont reçu le soutien du SNCA par la voix de sa Déléguée Syndicale Sylvie LEVEN. Un courrier intersyndical a été adressé à la directrice du CFA. Un rdv a été demandé à la direction et en fonction du résultat de cette rencontre des suites pourront être données.

Nous restons attentifs à la situation et vous tiendrons informés de ses développements.

 




CHAMBRES DE MÉTIERS ET DE L’ARTISANAT ET CHAMBRE DE COMMERCE ET D’INDUSTRIE DE LOZERE : QUI CROIRE ?

CHAMBRES DE MÉTIERS ET DE L’ARTISANAT ET CHAMBRE DE COMMERCE ET D’INDUSTRIE DE LOZERE : QUI CROIRE ?

 


 

 

Si les Assemblées Générales des chambres consulaires, CHAMBRE DE COMMERCE ET D’INDUSTRIE et CHAMBRES DE MÉTIERS ET DE L’ARTISANAT se suivent, les discours y sont diamétralement opposés, au moins dans un département hyper rural du sud de la France.

 

 

 

À la CHAMBRE DE COMMERCE ET D’INDUSTRIE

Le Président de la petite CHAMBRE DE COMMERCE ET D’INDUSTRIE redoute les effets létaux de cette nouvelle réduction drastique sur une chambre au budget déjà exsangue, un nouvel effort pouvant aller jusqu’à la suppression pure et simple de la taxe qui la finance.

La logique de Bruno Lemaire serait : si les prestations des CHAMBRE DE COMMERCE ET D’INDUSTRIE sont utiles aux entreprises, elles peuvent se financer en les facturant. Ce que les petites CHAMBRES DE COMMERCE ET D’INDUSTRIE, souffrant déjà du peu de péréquation dans leur réseau et de budgets toujours en diminution, perçoivent comme une provocation.

Il reste aussi aux petites CHAMBRES DE COMMERCE ET D’INDUSTRIE rurales l’alternative de se fondre totalement dans leur réseau régional consulaire ou inter consulaire avec celui des CHAMBRES DE MÉTIERS ET DE L’ARTISANAT.

C’est donc l’existence même des CHAMBRE DE COMMERCE ET D’INDUSTRIE départementales qui en dépend.

 

À la CHAMBRE DE MÉTIERS ET DE L’ARTISANAT

Le même jour aussi en ASSEMBLÉE GÉNÉRALE à la CHAMBRE DE MÉTIERS ET DE L’ARTISANAT, le ton est plus badin.

A l’image de celui utilisé par le président de l’APCMA lors de l’ASSEMBLÉE GÉNÉRALE du 20 juin. Tout en prônant une vigilance sur le projet de loi PACTE, la présidente de la CHAMBRE DE MÉTIERS ET DE L’ARTISANAT perçoit une véritable « relation de confiance avec le gouvernement ». L’artisanat étant « le symbole de l’excellence française, un vivier de talent, un ensemble de savoirs faire unique, une source d’emplois de qualité, une force qui anime et vivifie nos territoires ».

Malgré quelques réserves, il resterait Pour la présidente de la CHAMBRE DE MÉTIERS ET DE L’ARTISANAT encore « des normes abusives et réglementations trop complexes » qui seraient sans doute passées entre les mailles du filet des ordonnances Macron.

La présidente s’adressant alors directement à l’état et aux parlementaires ravis :

 

« Faites l’amour à nos entreprises artisanales en leur rapportant de belles preuves de vos intentions, nous sommes en attente »

 

Sic !

 

Difficile de comprendre qu’il y ait autant de différences d’appreciation entre l’avenir à moyen terme des 2 petites chambres consulaires d’un même département.

A voir ?

 

 

Source : « LA LOZERE NOUVELLE »



Quel avenir pour les toutes petites chambres consulaires ?

Quel avenir pour les toutes petites chambres consulaires ?

 


 

 

La régionalisation des fonctions support de nos établissements (Paye, achats groupés, communication, logistique, informatique) a déjà un impact négatif sur l’emploi dans les petits établissements consulaires départementaux (parfois moins de cinq mille ressortissants)

Un nouveau risque pour l’emploi apparait.

Thierry Juliers, Président de la CCI Lozère annonce à la presse locale que l’inspection générale des finances mène une enquête en vue de recentrer les activités des deux réseaux, Chambre de Commence et Chambre de Métiers.

Son homologue de la Chambre de Métiers lui rétorque : « qu’il n’est aucunement question de fusion entre les deux établissements consulaires départementaux ».

Dont acte

Mais qu’en sera-t-il à terme pour les services comme les Services Economiques, les CFE-RM, la formation, le développement ?

Rien n’est certain.

Les camarades de SNCA-CGT  48, élus du personnel, très attachés à l’emploi et au service public de proximité seront vigilants

Ci-dessous un article de presse :

article lozere




CMA66 : UN DIALOGUE SOCIAL EN TROMPE L’ŒIL

 

CMA66 : UN DIALOGUE SOCIAL EN TROMPE L’ŒIL

 


 

 

Le long conflit opposant la direction de la CMA66 et les agents de l’établissement vient de voir un nouveau développement avec l’Assemblée générale qui s’est tenue le 22 juin dernier et à laquelle assistaient les représentants du personnel.

Rappelons que la CMA66 est depuis le mois de janvier 2017 sous la tutelle de CRMA Occitanie et d’un comité de suivi composé de l’échelon consulaire régional mais aussi de la DIRECTTE et du Conseil Régional. Cette convention interdisait de manière totalement inique le dialogue social dans la CMA66 pendant au moins 6 mois.

Grâce à la mobilisation des agents et à la pression exercée par les élus salariés, les élus de la CMA66 appuyés par une Secrétaire Générale de remplacement suite à la maladie du titulaire, ont bien été obligé de réunir les Instances Représentatives du Personnel.

Dès lors, la Secrétaire générale et une partie des élus n’ont eu de cesse de saboter le dialogue social afin de tenir les 6 mois de gel promis à la commission de suivi, et ce au grand mépris des élus salariés. Ceux-ci ont été victimes de menaces et de pressions. Un élu artisanal a été jusqu’à menacer de se plaindre des élus CGT de l’établissement auprès du Secrétaire Général de l’UD des P.O. et de Philippe Martinez en personne. Les deux personnes concernées ont bien ri de cette grenouille qui voulait se faire plus grosse que le bœuf.

Les séances de discussions se sont déroulées au mépris des règles (pas de secrétariat de séance, pas de compte rendu, agressivité et mépris affichés pour les élus) ce qui permettait à la Secrétaire Générale de revenir sur des points décidés ou des propos tenus, mais aussi de caviarder le seul PV de CPL réalisé (pour cause de nécessité légale liée à la formation des agents) en omettant sciemment les remarques et suggestion des agents faites en séance. Bref, un sabotage systématique savamment orchestré.

L’assemblée Générale aura été l’occasion d’un festival d’autosatisfaction pour les élus de la CMA66

Ceux-ci ont mis en avant la meilleure santé de l’établissement (le déficit est réduit). Ils ont également annoncé la titularisation de 6 agents mais en omettant les CCD non renouvelés et ceux qui sont en forte réduction de volume horaire.  La CMA66 se refait donc la cerise mais sur le dos des agents qui payent la facture des erreurs de gestion et des incuries des équipes élues successives.

Les agents concernés par la suppression de leur CDD, ont été informés en juin 2016, lors de leur entretien professionnel, qu’ils seraient titularisés en septembre 2016 ! Il s’agit d’agents en CDD qui travaillent à la CMA66 depuis plus de dix ans pour certains. `

La casse sociale, même si elle est moins massive que prévue est donc bien au rendez-vous. La CMA se glorifie de titularisations qui étaient de toute façon nécessaires et semble crier victoire de manière obscène, faisant fi des drames sociaux pour les agents qui perdent leur emploi ou voient leur revenu diminuer.

Les élus de CPL veilleront à ce que des solutions (du type formations longues) soient proposées aux agents concernés pour les maintenir dans l’emploi.

Les élus artisanat lors de l’AG ont également déclaré vouloir négocier un accord local avec les Délégués syndicaux. Ils ont enfin l’autorisation de leur « patron » pour le faire ! Certes, ils le feront. Mais certainement pas dans les conditions vécues par les élus du personnel ces derniers mois. Le lien de confiance est perdu. Les élus ne veulent plus avoir à faire avec des mercenaires sans foi ni loi, venus de l’extérieur.

Le dialogue social devra se faire dans le respect des élus, avec un secrétariat de séance, des compte-rendu et des relevés de décision par séance.

Faute de quoi ils ne siègeront pas.




LA CMA66 SOUS TUTELLE !

LA CMA66 SOUS TUTELLE !

 


 

 

Ça y est c’est fait ! Lors de l’assemblée générale du vendredi 16 décembre, la Chambre Régionale des Métiers et de l’Artisanat de Toulouse a réussi à imposer aux nouveaux élus de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat 66 une « convention partenariale » qui fait de la structure régionale et de son ambitieux président, le gestionnaire de fait de l’établissement Perpignanais. Et c’est quasiment à l’unanimité que les élus locaux ont abandonné leur souveraineté.

 

Avec l’approbation de la tutelle régionale et du conseil régional, Serge Crabié le président de la CRMA a réussi son OPA sur la CMA66. Seul un ou deux élus locaux de la Chambre ont osé protester. Les autres ont rapidement capitulé en rase campagne. la convention qui les soumet à la CRMA a été adoptée à l’unanimité.

Seul élu a avoir le courage de questionner le Président CRABIE sur la pertinence de cette convention et de son utilité, mais aussi de s’inquiéter des droits des agents, le représentant du Conseil Départemental, monsieur LACAPERE, dont il faut saluer la droiture et le courage. Méprisé (traité de syndicaliste comme s’il s’agissait d’une insulte) et bousculé, cet élu de la république n’a même pas été salué ou remercié par les élus de la CMA. C’est honteux.

La tutelle (via le préfet) et le Conseil Régional (via Carole Delga) se sont réjouis, malgré leurs déclarations rassurantes faites précédemment aux élus du personnel, de cette convention qui piétine les droits des agents et le dialogue social. L’impact des ARTT est nul sur la situation de la CMA66 ? Qu’importe ! Cette convention permet à ceux qui ont été complices de l’endettement aventureux de la CMA66 en approuvant les crédits réalisés, de se défausser et de trouver un bouc émissaire : les agents.

Avec cette convention, les élus locaux seront là pour inaugurer les chrysanthèmes comme on disait sous la IIIème république. En effet, la CMA66 ne pourra pas acheter un crayon, un rouleau de papier toilette, sans demander la permission à la CRMA. Peut être même devront ils demander la permission pour allez faire pipi. Cette mise en coupe réglée concerne au plus haut point les agents de la CMA66 puisque la convention prévoit que leur accord local soit purement et simplement supprimé. De plus, situation inédite (et surtout illégale) la CRMA s’invite à la table des Commissions Paritaires Locales pour mieux contrôler (bâillonner ?) le dialogue social dans l’établissement ! Une lecture tout à fait extravagante du statut du personnel dans laquelle les élus locaux ne seront que les marionnettes de la CRMA !

Et pour mieux appliquer sa politique et la surveiller, Monsieur Crabié installe en prime à la CMA66 une Secrétaire Générale à sa main, avec une solide réputation de Dame de fer. Il se paye même le luxe de se présenter en sauveur des salaires

Le Président Robert BASSOLS en capitaine du Titanic, réunissait le personnel de la CMA66 ce jour lundi 19 décembre a 11h30 pour leur chanter la chanson « tout va très bien madame la marquise ».

Selon lui bien sur les élus étaient obligés de signer une convention, (que d’ailleurs il refuse de communiquer au agents, mais nous remédierons à cela) qui seule permettait de sauver la CMA. Questionné par les agents sur l’absurdité d’une mesure qui n’aura aucun effet sur la situation de la chambre, le président a bredouillé des réponses pas vraiment à la hauteur des inquiétudes et de la colère des agents. En effet, seuls les administratifs verront leurs ARTT supprimés, puisque pour es raisons d’emploi du temps les enseignants resteront comme avant. Alors qu’on nous expliquait hier qu’il était vital qu’ils fassent plus de face à face pédagogique ! Situation Ubuesque !

 

Le dialogue social sous surveillance ça n’existe pas ! les représentants des salariés dénonceront en droit cette atteinte au statut. Et les agents n’oublieront pas la trahison des élus du Conseil Régional et de la tutelle.

 

Le personnel se réunira prochainement pour échanger sur la situation et décider de la conduite à tenir.

 

Dernière minute

Les élus du personnel de la CMA devaient etre reçus par Serge Crabié mercredi. Compte tenu de la situation, voici ce que les délégués du personnel on répondu au président de la CRMA :

Monsieur CRABIE

Les élus du personnel ont pris acte de la convention partenariale que vous avez imposée aux élus locaux de la CMA66. Cette convention intègre un volet social qui est illégal au regard du statut du personnel des chambres de métiers en ce qui concerne le paritarisme local.

En outre elle est en soi un diktat social et une motion de défiance envers les représentants élus que nous sommes. Dans ces conditions, et en guise de protestation, nous refusons de vous rencontrer comme prévu le 21 décembre prochain.

De plus nous avons besoin de consulter nos mandants pour décider de la conduite à tenir face à cette mise sous tutelle de fait de notre établissement. Nous ne serons pas, contrairement à nos élus locaux, des marionnettes entre vos mains.

D’autre part, EN AUCUN CAS, le paritarisme local ne se fera sous la surveillance illégale d’un membre de la CRMA. En tous cas pas avec nous.

Les élus de la CPL de la CMA66

 

Tract CMA66 CRMA